Après l'intronisation du Den Paolig à 17h45 samedi, au fronton des Halles, c'est une soirée sans gros désordres qu'a traversée la cité penn sardin. Il faut savoir se réjouir de ces "bonnes" petites nouvelles.
Allez savoir si, "moi le maire, Philippe, le seul" comme se plaira à le rappeler non sans humour le maire d'un jour, y est pour quelque chose. Sa ponctualité et son discours feront le reste. La maison Charles Tillon était difficilement atteignable ce dimanche matin, face à la foule nombreuse.
Le temps d'un repas, les forces vives se mobilisaient pour former le cortège qui a envahi la ville quelques heures après. Baignée de soleil, la cité d'Ys accueillait les spectateurs pour un défilé d'une heure où, des chorales diverses mêlant vieux poppys et anciens chanteurs à la croix de bois au siège royal d'une reine visiblement très coincée, pour ne pas dire bouchée, chacun y prenait pour son grade.
Et puisque pendant les Gras, tout est permis, les forces de l'ordre n'ont pas été épargnées. Mises en avant malgré elles en amont des Gras, elles ont été moquées tout au long des festivités. Samedi, faute de bal en salle des fêtes, c'était Bal des gendarmes sur la place des halles.
A ceux qui se demandent "que fait la Police", on répondra simplement qu'elle était belle et bien là et qu'à Douarnenez, on dit Pol'Ys ! Suite et fin des Gras mardi. Toujours sous le soleil et dans la bonne humeur.
Thomas Rocher.
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