La CGT fait donc entendre en mairie qu'elle ne lâchera rien sur le dossier de délégation de service public de l'aire de carénage. Par courrier daté du 14 septembre, le syndicat a adressé une nouvelle injonction au sénateur-maire de Douarnenez. La demande ? Annuler la délibération votée au mois de juin.
Le syndicat fait plus que camper sur ses positions : il brandit maintenant la menace du tribunal administratif. Dans son courrier, la CGT revient sur le vote. Le syndicat indique qu'il ne participera pas au comité technique paritaire (CTP) convoqué le jeudi 22 septembre, soit un jour avant le conseil municipal. Lors de ce CTP, le dossier de l'aire de carénage sera présenté en bonne et due forme au vote des représentants du personnel.
Trop tard indique la CGT. Le syndicat précise dans sa missive : "[…] nous ne voyons pas l’utilité de statuer sur un texte déjà voté en conseil municipal. Tout nouvel avis du comité postérieur à la délibération ne saurait être considéré comme valide, nous ne répondrons donc pas à cette convocation". Une fin de non-recevoir en somme. Une seule demande préalable pour réamorcer le dialogue : annuler simplement la délibération du mois de juin.
Sinon ? Le syndicat n'y va pas par quatre chemins et lance un ultimatum : "Je vous avise également qu’après le 30 septembre et sans modification de la situation actuelle, nous avons décidé de saisir le Tribunal Administratif". Maintenant, que fera l'équipe municipale ? Il n'est pas certain, loin de là, que cette menace ralentisse le processus maintenant presque achevé. L'ouverture des plis de l'appel à candidature pour l'aire de carénage est programmée le lundi 26 septembre.
Le syndicat fait plus que camper sur ses positions : il brandit maintenant la menace du tribunal administratif. Dans son courrier, la CGT revient sur le vote. Le syndicat indique qu'il ne participera pas au comité technique paritaire (CTP) convoqué le jeudi 22 septembre, soit un jour avant le conseil municipal. Lors de ce CTP, le dossier de l'aire de carénage sera présenté en bonne et due forme au vote des représentants du personnel.
Trop tard indique la CGT. Le syndicat précise dans sa missive : "[…] nous ne voyons pas l’utilité de statuer sur un texte déjà voté en conseil municipal. Tout nouvel avis du comité postérieur à la délibération ne saurait être considéré comme valide, nous ne répondrons donc pas à cette convocation". Une fin de non-recevoir en somme. Une seule demande préalable pour réamorcer le dialogue : annuler simplement la délibération du mois de juin.
Sinon ? Le syndicat n'y va pas par quatre chemins et lance un ultimatum : "Je vous avise également qu’après le 30 septembre et sans modification de la situation actuelle, nous avons décidé de saisir le Tribunal Administratif". Maintenant, que fera l'équipe municipale ? Il n'est pas certain, loin de là, que cette menace ralentisse le processus maintenant presque achevé. L'ouverture des plis de l'appel à candidature pour l'aire de carénage est programmée le lundi 26 septembre.
TR.
D'une petite "magouille" entre amis c'est maintenant un tsunami municipal que l'equipe en place ne maitrise plus .
RépondreSupprimeroui HERVE H, vu le constat désastreux, on ne peut malheureusement que penser que vous avez raison....
RépondreSupprimerCe tsunami sera t il assez puissant pour attaindre et dévaster les hautes sphères!
RépondreSupprimerl'avenir nous le dira !