Modifié le 25.09.10 à 23h37
Quelque 600 personnes se sont retrouvées côté Rosmeur, place du Sémaphore, chez lui, en somme, pour un dernier salut à Pascal Boccou.
Il n'y a jamais eu un moment sans sourires, il n'y a jamais eu un moment sans larmes. L'émotion et le rire ont joué au chat et à la souris pendant l'heure quarante cinq qu'a duré la cérémonie. Même à Bout de souffle a joué faux par moment. Aujourd'hui, c'était permis.
De son aspect combatif à son côté rassembleur, détermination et plaisir ont été parmi les mots les plus cités pour évoquer son parcours.
L'album de sa vie a été feuilleté en bilingue. "Tu as vécu pour les gens", dira Monique Prévost, conseillère municipale d'opposition, ancienne maire de Douarnenez.
Jamais la musique n'aura été absente. Tous ceux qu'il a croisé et ceux avec qui il a travaillé étaient là. Ce n'était pas une fête, mais comme pour conjurer le sort, c'est sur une gavotte que ses amis s'en sont allés.
Vin, tire-bouchon, crevette, breton, Carcassonne, histoire drôle…
Quelque 600 personnes se sont retrouvées côté Rosmeur, place du Sémaphore, chez lui, en somme, pour un dernier salut à Pascal Boccou.
Il n'y a jamais eu un moment sans sourires, il n'y a jamais eu un moment sans larmes. L'émotion et le rire ont joué au chat et à la souris pendant l'heure quarante cinq qu'a duré la cérémonie. Même à Bout de souffle a joué faux par moment. Aujourd'hui, c'était permis.
De son aspect combatif à son côté rassembleur, détermination et plaisir ont été parmi les mots les plus cités pour évoquer son parcours.
L'album de sa vie a été feuilleté en bilingue. "Tu as vécu pour les gens", dira Monique Prévost, conseillère municipale d'opposition, ancienne maire de Douarnenez.
Jamais la musique n'aura été absente. Tous ceux qu'il a croisé et ceux avec qui il a travaillé étaient là. Ce n'était pas une fête, mais comme pour conjurer le sort, c'est sur une gavotte que ses amis s'en sont allés.
Vin, tire-bouchon, crevette, breton, Carcassonne, histoire drôle…
Thomas Rocher
La note discordante…
L'actuelle majorité municipale a brillé par son absence. Pas un élu n'a été vu à la cérémonie. Aucune des personnes à qui j'ai posé la question n'en a vu un et moi non plus. Ce n'est pas faute d'avoir pourtant glissé un avis mortuaire dans les journaux.
Si cela se confirme, c'est lamentable.