La ville de Douarnenez n'a jamais fait dans la demi-mesure quand il s'agit de faire face aux critiques. Il est vrai que tout le monde ici a (ou se trouve) la bonne raison d'avoir son mot à dire. Les bistrots, tout comme les commerces se meurent, mais le café du commerce fait florès ! Les sardines en folie avec, vous dites-vous ? Vous avez raison. Mais tant que je paierai mes impôts, que j'aurai le droit de vote et continuerai de l'exercer, il est hors de question que cela change.
Au feu !!!!
Et voilà que les soucis reprennent. Si l'on avait bien ressenti un manque de préparation du dernier conseil municipal et du renvoi dans les cordes de Claudine Brossard, il semble que le flou persiste dans la gestion des équipes de la majorité municipale.
J'écris bien "des équipes", car l'unité n'est que de façade, ne nous y trompons pas. Avec un capitaine absent, certains seconds se nourrissent de l'envie de n'en faire qu'à leur tête et d'imposer leur vue. D'autres tentent de surnager, bon gré, mal gré.
Prendre de la hauteur
L'étonnant paradoxe que la ville ne cesse de cultiver, c'est d'avoir des élus pétris de certitudes donnant l'impression de découvrir des dossiers dont ils sont responsables. Alors, forcément cela donne lieu à relater quelques mécontentements.
Les derniers cris sont, dans le désordre : le club de natation, la nouvelle caserne des pompiers, un magasin d'optique… A cela, ajoutez des chantiers qui ne ravissent personne comme le rond-point triangle du pont de Tréboul et la coupe est pleine ?
2011 sera, à l'aune des années passées, une nouvelle année charnière, comme se plaisent à répéter les hommes politiques. Une année difficile. Il faut s'y faire, les finances publiques n'étant pas dans un état réjouissant (de l'État à tous les niveaux de la décentralisation), il va à nouveau falloir faire quelques sacrifices. Je le répète depuis plusieurs mois, les dents n'ont pas fini de grincer.*
Au feu !!!!
Et voilà que les soucis reprennent. Si l'on avait bien ressenti un manque de préparation du dernier conseil municipal et du renvoi dans les cordes de Claudine Brossard, il semble que le flou persiste dans la gestion des équipes de la majorité municipale.
J'écris bien "des équipes", car l'unité n'est que de façade, ne nous y trompons pas. Avec un capitaine absent, certains seconds se nourrissent de l'envie de n'en faire qu'à leur tête et d'imposer leur vue. D'autres tentent de surnager, bon gré, mal gré.
Prendre de la hauteur
L'étonnant paradoxe que la ville ne cesse de cultiver, c'est d'avoir des élus pétris de certitudes donnant l'impression de découvrir des dossiers dont ils sont responsables. Alors, forcément cela donne lieu à relater quelques mécontentements.
Les derniers cris sont, dans le désordre : le club de natation, la nouvelle caserne des pompiers, un magasin d'optique… A cela, ajoutez des chantiers qui ne ravissent personne comme le rond-point triangle du pont de Tréboul et la coupe est pleine ?
2011 sera, à l'aune des années passées, une nouvelle année charnière, comme se plaisent à répéter les hommes politiques. Une année difficile. Il faut s'y faire, les finances publiques n'étant pas dans un état réjouissant (de l'État à tous les niveaux de la décentralisation), il va à nouveau falloir faire quelques sacrifices. Je le répète depuis plusieurs mois, les dents n'ont pas fini de grincer.*
Thomas Rocher
(* Je sais, cette conclusion résonne comme un commentaire de Jean-Michel Apahtie, sur RTL et j'en suis foncièrement désolé, mais il faut se faire à l'idée que les caisses sont vides...)
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