A lire Le Télégramme*, ce mardi 9 novembre 2010, Claudine Brossard et l'association "Jamais le jeudi" sont les victimes collatérales d'un dysfonctionnement dans les services, comme les Sardines s'en faisaient l'écho dès samedi (lire-ci-avant sur le blog). Bizarre… Et pourquoi pas d'un dysfonctionnement chez les élus ?
Les propos de William Boulic sont très "éclairants" (et sans marché à bons de commande). Entre le 11 octobre et le 5 novembre, le dossier a été repoussé deux fois déjà par le bureau. La dernière fois, le 25 octobre, cela laissait le temps de supprimer la délibération, avant envoi aux conseillers. Et pourtant, la délibération était bel et bien à l'ordre du jour. [...] "vendredi soir, quand j’ai découvert qu’elle était tout de même à l’ordre du jour - et ne me demandez pas comment !- j’ai été obligé de m’insurger."
Une fois ce constat passé, se pose la question de savoir pourquoi aucun élu n'a alerté le premier magistrat de la ville sur les difficultés qu'allait poser l'examen de ce dossier en conseil et la position du bureau municipal. En effet, au pire, la délibération aurait pu être retirée de l'ordre du jour, avec le minimum d'explications préliminaires vendredi, lors du conseil et reportée au suivant, sans que n'éclate cette discorde interne du groupe majoritaire.
"Il y a eu mésentente. C’est pourquoi j’ai choisi de reporter la délibération. Ce n’est pas une grosse somme, il ne faut pas en faire une montagne. Nous allons trancher ça entre nous, calmement", indique Philippe Paul à Marie-Line Quéau du Télégramme. Certes, mais le mal est déjà fait, du moins en terme d'image. Et la question reste, y a-t-il un commandant à bord de ce navire ? L'on s'attend, à ce rythme là, à entendre bientôt, "les femmes et les enfants d'abord".
Les propos de William Boulic sont très "éclairants" (et sans marché à bons de commande). Entre le 11 octobre et le 5 novembre, le dossier a été repoussé deux fois déjà par le bureau. La dernière fois, le 25 octobre, cela laissait le temps de supprimer la délibération, avant envoi aux conseillers. Et pourtant, la délibération était bel et bien à l'ordre du jour. [...] "vendredi soir, quand j’ai découvert qu’elle était tout de même à l’ordre du jour - et ne me demandez pas comment !- j’ai été obligé de m’insurger."
Une fois ce constat passé, se pose la question de savoir pourquoi aucun élu n'a alerté le premier magistrat de la ville sur les difficultés qu'allait poser l'examen de ce dossier en conseil et la position du bureau municipal. En effet, au pire, la délibération aurait pu être retirée de l'ordre du jour, avec le minimum d'explications préliminaires vendredi, lors du conseil et reportée au suivant, sans que n'éclate cette discorde interne du groupe majoritaire.
"Il y a eu mésentente. C’est pourquoi j’ai choisi de reporter la délibération. Ce n’est pas une grosse somme, il ne faut pas en faire une montagne. Nous allons trancher ça entre nous, calmement", indique Philippe Paul à Marie-Line Quéau du Télégramme. Certes, mais le mal est déjà fait, du moins en terme d'image. Et la question reste, y a-t-il un commandant à bord de ce navire ? L'on s'attend, à ce rythme là, à entendre bientôt, "les femmes et les enfants d'abord".
Thomas Rocher
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire
Vous avez la parole. Vos commentaires sont susceptibles d'être modérés.
A vos claviers & restez courtois !
Attention ! Aucun commentaire anonyme n'est publié.
Consultez la charte de discussion sur le site des sardines en folie, en cliquant ici.
Cliquez "Commentaire : Sélectionner le profil...", puis choisissez "Nom/Url" et tapez votre pseudo. C'est à vous !