Alors que les élections régionales approchent, ce n'était visiblement pas le souci des élus que cette élection de la collectivité territoriale, même si Douarnenez à deux candidats en lice. Pour le PS, Tangi Youinou (Lire ici) et à l'UMP, Jos Le Gall, porteront les couleurs de la ville.
Quoiqu'il en soit, on sentait bien que ce conseil se ferait sans débat, ou presque. 10 dossiers à l'ordre du jour. De la gestion, rien que de la gestion, ou presque. Sauf qu'à Douarnenez, on est à fleure de peau sur les symboles. Premier d'entre eux, l'Usine Rouge, cette ancienne conserverie, tombée en désaffection voici un demi siècle et dont on attend toujours qu'un projet immobilier transforme la friche, pour ne pas dire verrue, en bien immobilier, plus intéressant pour la vue.
C'est un escalier communal déjà démonté, comme me le faisait remarquer Hubert Orione, du Télégramme, qui faisait l'objet de la délibération du vendredi 29 janvier. L'objet du questionnement d'Elisabeth Hascoët portait en effet plus sur la forme que sur le fond. L'enjeu ? Le devenir des pierres et leur destination finale, ainsi que la nécessaire consolidation de la falaise. Jos Le Gall, a répondu à la "rafale" (sic) de questions de la conseillère.
Tout le monde s'est accordé à la nécessaire consolidation. Tout le monde s'est félicité que l'escalier soit à terme reconstruit avec les mêmes pierres, aux frais de la SAS qui a fait l'acquisition du bâtiment. Reste maintenant à financer l'opération. Encore faut-il savoir quand. Petit échange amusant entre les deux élus, celui sur la praticabilité d'un escalier en fauteuil roulant. Jos Le Gall, aux arguments frappés au coin du bon sens, a rappelé qu'un escalier n'était tout simplement pas praticable en fauteuil. Pour ces personnes, la rue du Quartier maître Banalec s'impose.
C'est l'occasion aussi pour moi de glisser ici à Jos Le Gall qu'à force de mettre des poteaux sur les trottoirs, ceux-ci peuvent s'avérer difficile pour la circulation des personnes handicapées. Dernier exemple en date, le trottoir fraîchement refait de la Poste. La pose d'un poteau pour empêcher aux impétrants (c'est-à-dire nous) de stationner sur le trottoir (et à juste titre), ne facilite pas le cheminement.
A cette occasion, les aménagements nécessaires sur le Rosmeur, des cales et la future installation de pontons sont revenus sur le tapis. Le conseiller municipal, adjoint au maire et en charge des finances, mais aussi conseiller général, Erwann Le Floch a alors porté le flambeau, ramenant la discussion à rien n'est décidé, pour le moment. A juste titre, le port est en effet propriété du département.
Le conseil est fini. Trois quarts d'heure auront suffit à épuiser les débats. Notons tout de même qu'un coup de sang est toujours possible, un agacement, toujours sensible. Comme chien et chat !
Quoiqu'il en soit, on sentait bien que ce conseil se ferait sans débat, ou presque. 10 dossiers à l'ordre du jour. De la gestion, rien que de la gestion, ou presque. Sauf qu'à Douarnenez, on est à fleure de peau sur les symboles. Premier d'entre eux, l'Usine Rouge, cette ancienne conserverie, tombée en désaffection voici un demi siècle et dont on attend toujours qu'un projet immobilier transforme la friche, pour ne pas dire verrue, en bien immobilier, plus intéressant pour la vue.
C'est un escalier communal déjà démonté, comme me le faisait remarquer Hubert Orione, du Télégramme, qui faisait l'objet de la délibération du vendredi 29 janvier. L'objet du questionnement d'Elisabeth Hascoët portait en effet plus sur la forme que sur le fond. L'enjeu ? Le devenir des pierres et leur destination finale, ainsi que la nécessaire consolidation de la falaise. Jos Le Gall, a répondu à la "rafale" (sic) de questions de la conseillère.
Tout le monde s'est accordé à la nécessaire consolidation. Tout le monde s'est félicité que l'escalier soit à terme reconstruit avec les mêmes pierres, aux frais de la SAS qui a fait l'acquisition du bâtiment. Reste maintenant à financer l'opération. Encore faut-il savoir quand. Petit échange amusant entre les deux élus, celui sur la praticabilité d'un escalier en fauteuil roulant. Jos Le Gall, aux arguments frappés au coin du bon sens, a rappelé qu'un escalier n'était tout simplement pas praticable en fauteuil. Pour ces personnes, la rue du Quartier maître Banalec s'impose.
C'est l'occasion aussi pour moi de glisser ici à Jos Le Gall qu'à force de mettre des poteaux sur les trottoirs, ceux-ci peuvent s'avérer difficile pour la circulation des personnes handicapées. Dernier exemple en date, le trottoir fraîchement refait de la Poste. La pose d'un poteau pour empêcher aux impétrants (c'est-à-dire nous) de stationner sur le trottoir (et à juste titre), ne facilite pas le cheminement.
A cette occasion, les aménagements nécessaires sur le Rosmeur, des cales et la future installation de pontons sont revenus sur le tapis. Le conseiller municipal, adjoint au maire et en charge des finances, mais aussi conseiller général, Erwann Le Floch a alors porté le flambeau, ramenant la discussion à rien n'est décidé, pour le moment. A juste titre, le port est en effet propriété du département.
Le conseil est fini. Trois quarts d'heure auront suffit à épuiser les débats. Notons tout de même qu'un coup de sang est toujours possible, un agacement, toujours sensible. Comme chien et chat !
Thomas Rocher
Le moment attendu.
C'est une tradition, lors des conseils municipaux, que d'attendre avec régal les interventions de Michel Balanec. Ne voyez ici aucune méchanceté, il n'y en a pas. Ce serait en fait rendre hommage à Michel que de dire que lui, au moins, nous apporte le sourire lors de chaque conseil, un dérapage dans la lecture d'un projet de délibération étant toujours possible, à moins que ce ne soit un problème de débit.
Et la glissade attendue a eu lieu vendredi. Voici qu'à la lecture de la délibération portant sur l'adhésion de la commune, à la demande du Port-musée à l'association "Loisirs en Finistère", Michel, nous en indiquant les raisons, prononçait : "… qui diffuse l'information des sites culturels et touristiques adhérents au travers de son guide des loisirs, de son site internet, ainsi que par des actions de porno…, de promotion." Ouf, moins de deux, il finissait à poil…
C'est une tradition, lors des conseils municipaux, que d'attendre avec régal les interventions de Michel Balanec. Ne voyez ici aucune méchanceté, il n'y en a pas. Ce serait en fait rendre hommage à Michel que de dire que lui, au moins, nous apporte le sourire lors de chaque conseil, un dérapage dans la lecture d'un projet de délibération étant toujours possible, à moins que ce ne soit un problème de débit.
Et la glissade attendue a eu lieu vendredi. Voici qu'à la lecture de la délibération portant sur l'adhésion de la commune, à la demande du Port-musée à l'association "Loisirs en Finistère", Michel, nous en indiquant les raisons, prononçait : "… qui diffuse l'information des sites culturels et touristiques adhérents au travers de son guide des loisirs, de son site internet, ainsi que par des actions de porno…, de promotion." Ouf, moins de deux, il finissait à poil…
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