Ça glisse !
Il neige parfois à Douarnenez. Manque de bol, quand ça tombe un samedi, il n'y a personne des services techniques de la ville ou de la communauté de commune pour venir mettre un peu de sel, là où il faut, c'est-à-dire sur la place du marché, devant les halles. Idem à Tréboul. William Boulic, aperçu à deux pas de là, n'avait pas l'air plus préoccupé que cela des possibles dérapages. Il est vrai qu'il peut être maître en la matière, sans jamais tomber.
Le Pourquoi-Pas aux abonnés absents
Pourquoi pas, oui. Puis non ! C'est la réalité à laquelle s'est affrontée l'équipe de tournage du film "Les yeux de sa mère". Jeudi, Ouest-France nous indiquait en effet que son patron, le très "jovial" Renaud, avait fait faux bond, à l'occasion du tournage d'une dernière scène sur le Port-Rhu, aux alentours de ce premier bar et de l'excellent à Tribord. En jeu, une scène où les acteurs descendaient du Charcot. Marie et Francis étaient là, Renaud boudait. Il n'avait pourtant qu'à venir et allumer la lumière de son bar.
Normalement, l'affaire était entendue et le rendez-vous était pris. Mais non. Quelques minutes avant le tournage, il avait décidé qu'il ne viendrait pas allumer sa façade. Tant bien que mal, l'équipe du tournage a alors bricolé un éclairage en urgence.
Il neige parfois à Douarnenez. Manque de bol, quand ça tombe un samedi, il n'y a personne des services techniques de la ville ou de la communauté de commune pour venir mettre un peu de sel, là où il faut, c'est-à-dire sur la place du marché, devant les halles. Idem à Tréboul. William Boulic, aperçu à deux pas de là, n'avait pas l'air plus préoccupé que cela des possibles dérapages. Il est vrai qu'il peut être maître en la matière, sans jamais tomber.
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Pourquoi pas, oui. Puis non ! C'est la réalité à laquelle s'est affrontée l'équipe de tournage du film "Les yeux de sa mère". Jeudi, Ouest-France nous indiquait en effet que son patron, le très "jovial" Renaud, avait fait faux bond, à l'occasion du tournage d'une dernière scène sur le Port-Rhu, aux alentours de ce premier bar et de l'excellent à Tribord. En jeu, une scène où les acteurs descendaient du Charcot. Marie et Francis étaient là, Renaud boudait. Il n'avait pourtant qu'à venir et allumer la lumière de son bar.
Normalement, l'affaire était entendue et le rendez-vous était pris. Mais non. Quelques minutes avant le tournage, il avait décidé qu'il ne viendrait pas allumer sa façade. Tant bien que mal, l'équipe du tournage a alors bricolé un éclairage en urgence.
Pour la petite histoire, et quelques minutes de présence (Renaud habite à moins de 100 mètres de là), il aurait pu toucher 75 euros pour activer un interrupteur, en guise de dédommagement. C'est plus que la recette de certains soirs, quand le Pourquoi-Pas ? réussit à ouvrir. Il est en effet réglé sur "aléatoire" depuis plusieurs semaines. Et même ouvert, il n'est pas sûr qu'autant d'argent entre en caisse. Après, il se plaindra certainement de Douarnenez. En tout cas, il s'offre une bien jolie publicité avec son pied de nez. Une pub négative, dont il n'avait pas besoin. Le Pourquoi Pas ? Ben non...
du rififi a la mairie philou dégage quéré celui ci ce mmaatin renacle dans le téle gramme vas t'on apprendre des choses ???
RépondreSupprimerEn tout cas QUÉRÉ est colère il va saisire le tribunal administratif il s'était légèrement accroché avec PHILOU le quel n'a pas apprécié , alors il l'a jeté . PHILOU a la même attitude que son maitre SARKO le vernis craque a suivre !!!!
Cher Régis, et en vrac toujours... Pour que votre commentaire soit vu, ne réagissez pas sur de vieux articles pour y glisser vos commentaires.
RépondreSupprimerEnsuite, sur la décision de Philippe Paul, elle-même, je serais tenté de la jouer profil bas, dans l'attente de connaître le pourquoi comment de l'affaire.
Bien à vous.
Thomas Rocher.