Un marché de Noël en centre-ville, avec des commerçants de passage et ceux de l’association "Commerces en baie". Pour d’autres résidants du centre, direction… Intermarché. Un comble !
Alors que les commerçants du centre-ville ont bien du mal à faire vivre une association et à mener des opérations communes, certains vont pousser le bouchon jusqu’à déserter le centre-ville (et leur boutique) pour immigrer dans la galerie d’une grande surface. Incompréhensible.
Enfin, presque. Les explications sont, comme d’habitude, les mêmes et toujours aussi faciles : y’a pas assez de places de parkings au centre-ville, les commerçants de passage nous pique du chiffre. Bref, la litanie habituelle. Vieille rengaine ran-ouenn.
Bel exemple, une nouvelle fois, en tout cas, de cohésion. Il est temps, pour leur bien, que les commerçants de Douarnenez se posent les bonnes questions avant de se mettre à pleurer.
Y aurait-il, là derrière, une certaine schizophrénie ? Dans le même temps, et ce n’est pas de sa faute, le directeur d’Intermarché, lui, s’appelle bien Leclerc. Philippe Leclerc. Aucun lien avec l’autre enseigne, sauf à crier "Moins cher !".
Le premier qui dit "Arrête ton char, Leclerc !" quitte immédiatement ce blog !
Thomas Rocher
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