Port-Rhu - Octobre noir !
En deux semaines, le Port-Rhu vient d'essuyer deux revers. Le début du mois aura vu les quais mis à mal par les fortes pluies du 7 octobre. Le glissement et l'impressionnant trou qui en résulte à proximité de l'entrée de l'exposition à flot en a laissé plus d'un pantois. Cet évènement nous rappelle que le Port-Rhu a été construit en terrain mouvant.
Est-ce une conséquence de ce glissement de terrain ? Quoiqu'il en soit, fatalitas ! Le 20 octobre, les portes éclusières sont restées coincées. Démontées en urgence, l'une d'entre-elles affichait une sérieuse déformation. Au final, les bateaux resteront bloqués au port pour un mois.
Sur le Port-Rhu, ces aléas ont nourri la discussion. Et parmi les questions entendues, celle qui revenait le plus souvent était les fêtes maritimes. En effet, en 2010, année sans Brest, elles retrouvent leur écrin originel. Du côté de la mairie, on se veut rassurant. Le Port-Rhu sera en état bien avant, prêt à accueillir les festivités. On met bien les bateaux en bouteilles, mais qu'on ne laisse pas le Port-Rhu en carafe. Ouf !
En deux semaines, le Port-Rhu vient d'essuyer deux revers. Le début du mois aura vu les quais mis à mal par les fortes pluies du 7 octobre. Le glissement et l'impressionnant trou qui en résulte à proximité de l'entrée de l'exposition à flot en a laissé plus d'un pantois. Cet évènement nous rappelle que le Port-Rhu a été construit en terrain mouvant.
Est-ce une conséquence de ce glissement de terrain ? Quoiqu'il en soit, fatalitas ! Le 20 octobre, les portes éclusières sont restées coincées. Démontées en urgence, l'une d'entre-elles affichait une sérieuse déformation. Au final, les bateaux resteront bloqués au port pour un mois.
Sur le Port-Rhu, ces aléas ont nourri la discussion. Et parmi les questions entendues, celle qui revenait le plus souvent était les fêtes maritimes. En effet, en 2010, année sans Brest, elles retrouvent leur écrin originel. Du côté de la mairie, on se veut rassurant. Le Port-Rhu sera en état bien avant, prêt à accueillir les festivités. On met bien les bateaux en bouteilles, mais qu'on ne laisse pas le Port-Rhu en carafe. Ouf !
Le Dz s'emmêle les pinceaux !
Arrivé dans les boîtes à lettre ces jours derniers, un "copier-coller" a visiblement inversé de manière malencontreuse les titres des tribunes de l'opposition. Si, si. Regardez les tribunes et cherchez l'erreur. Fatalitas !
Quoiqu'il en soit, on sait d'où venaient le bruit des quelque 40 000 euros de la visite du sénateur Raffarin. Et dans la suite des débats municipaux, lors du conseil du 2 octobre, on remarquera le petit encadré sur le coût de l'inauguration du centre des arts, en page 2. Il y est bien marqué "à la charge de la ville". Mais nous n'avons toujours pas le décompte "à la charge du contribuable"…
Vous me direz que je suis bien retord et que je cherche la petite bête. Peut-être… Mais à nous faire croire que tout est gratuit, où pire, que M. le sénateur-maire paie de sa poche, il ne faut pas abuser, non plus. Son traitement vient bel et bien de quelque part. Il provient de l'impôt.
Qui peut encore croire que ça porte bonheur ?
La Ville a sorti une campagne de communication sur les étrons de toutous. C'est bien. Reste que côté visuel, c'est risible !
A la découverte de ce document, je me suis dit que le "djeun's" était l'ennemi ! Si, si. Avec à ses pieds une bonne paire de ce qu'il est convenu d'appeler des "écrases merde" et son air méchant, il semble jouer la nargue ! Et en plus, avec une semelle neuve, comme au premier jour. Ridicule ! Quant au petit chien qui sert de mascotte, il l'est tout autant. Fatalitas !
[Ajout - 25/10/09 - 19h15] PS : j'attends avec délectation la déclinaison de la campagne avec la personne âgée et une gambette au pied tout aussi "léger" !...
Arrivé dans les boîtes à lettre ces jours derniers, un "copier-coller" a visiblement inversé de manière malencontreuse les titres des tribunes de l'opposition. Si, si. Regardez les tribunes et cherchez l'erreur. Fatalitas !
Quoiqu'il en soit, on sait d'où venaient le bruit des quelque 40 000 euros de la visite du sénateur Raffarin. Et dans la suite des débats municipaux, lors du conseil du 2 octobre, on remarquera le petit encadré sur le coût de l'inauguration du centre des arts, en page 2. Il y est bien marqué "à la charge de la ville". Mais nous n'avons toujours pas le décompte "à la charge du contribuable"…
Vous me direz que je suis bien retord et que je cherche la petite bête. Peut-être… Mais à nous faire croire que tout est gratuit, où pire, que M. le sénateur-maire paie de sa poche, il ne faut pas abuser, non plus. Son traitement vient bel et bien de quelque part. Il provient de l'impôt.
Qui peut encore croire que ça porte bonheur ?La Ville a sorti une campagne de communication sur les étrons de toutous. C'est bien. Reste que côté visuel, c'est risible !
A la découverte de ce document, je me suis dit que le "djeun's" était l'ennemi ! Si, si. Avec à ses pieds une bonne paire de ce qu'il est convenu d'appeler des "écrases merde" et son air méchant, il semble jouer la nargue ! Et en plus, avec une semelle neuve, comme au premier jour. Ridicule ! Quant au petit chien qui sert de mascotte, il l'est tout autant. Fatalitas !
[Ajout - 25/10/09 - 19h15] PS : j'attends avec délectation la déclinaison de la campagne avec la personne âgée et une gambette au pied tout aussi "léger" !...
Thomas Rocher
Bravo pour vote site que je ne manque pas de visiter tout les week-ends.
RépondreSupprimerPour quelqu'un qui a peu de chose a dire il faut avouer que vous êtes plus loquace que les divers sites de l'opposition (ou même de la majorité,et même plus prolixe que notre mascotte de maire).
Cela dit je tiens à noter que une nouvelle m'a interpelée sur FR3 Bretagne, la mise en place d'un bateau chasseur d'algues vertes en mer. Ce qui m'a titiller au-delà du fait que faire tourner un bateau toute une journée n'est pas ce qu'on a fait de plus écolo, c'est le fait que le patron de l'entreprise qui bâtit cette bête de technologie (un zodiac avec 2 avanos!) n'est autre que le président de la communauté des communes.
L'information pourrait être vérifiée mais sur le site de France 3, l'info du 21 octobre a été coupée et le commentaire du journaliste précisant cette info a été retirée. (http://info.francetelevisions.fr/video-info/?id-video=564A00FD57254B3FA706F0A5B5B9ACDC_cafe_ouest_231020092259_F3&id-categorie=JOURNAUX_LES_EDITIONS_REGIONALES_BRETAGNE)
C'est bien dommage, mais pour l'instant cet équipement, qui n'empêche pas les algues vertes tueuses de se déposer au Ris, n'est pas encore au point.
Par contre on peut être sur que la compagnie d'exploitation des ports, filiale de Véolia, et son dirigeant, l'éminence grise de notre filou nationale, proposera à nouveau cet équipement qui à terme permettra de remplacer les tracteurs sur la plage.
tout ça pour dire que le problème n'est pas Le tracteur qui ramasse les algues mais peut être celui qui épand le lisier...
Merci pour vos compliments tynico. Prolixe, certes. Mais, il me faut rester à ma place. Il est certainement plus simple d'être un observateur critique, comme je le fais. Mais merci encore.
RépondreSupprimerOui, j'aurais pu évoquer le bateau de ramassage des algues vertes. Pourtant, je crois que ce n'est qu'une démonstration d'un procédé que tout à chacun voudrait voir, pourrait imaginer, mais ne répondant pas à l'objectif souhaité. D'où le fait de ne pas l'évoquer. Par contre, ce même bateau pourrait être utile dans les ports de Dz pour y faire le ramassage des ordures et débris flottants. Il y aurait toute sa place.
Pour le reste du problème, ce n'est pas que je sois sans avis, mais je ne souhaite pas rentrer dans le débat du qui fait quoi. Ne croyez pas que ce soit par facilité. C'est parce qu'au regard de la courte histoire de l'agriculture après guerre, les responsables sont nombreux, et les agriculteurs sont loin d'être les seuls coupables.
Merci pour votre fidélité, vos encouragements et votre commentaire. Les sardines sont là pour ça. Vous y êtes le bienvenu !