Pendant que la presse nationale n'en finit pas de se délecter des problèmes rencontrés par Dominique Strauss-Khan et autre Georges Tron, à Douarnenez, c'est la débandade ! Le panorama politique n'est pas glorieux actuellement dans la cité, même si ce ne sont pas quelques problèmes libidineux qui la hantent.
Non, dans l'instant, le seul problème qui vaille est bel bien le déni de démocratie qu'affiche un maire, qui plus est législateur, car sénateur, soit Philippe Paul, bien nommé de la cité penn-sardin. Dans l'instant, sa manière de conduire les affaires de la cité sont mises à mal. La faute à qui ?
Le premier qui devrait se poser la question est justement le sénateur-maire. Pour qui cherche sur ce blog la formule "qui trop embrasse, mal étreint", il la trouvera à plusieurs reprises, au fil des articles. Un simple gimmick ? Que nenni ! Juste une formule adaptée au comportement soit "je m'en foutiste" ou "jusque boutiste" de l'édile. Les 5 élus démissionnés ne mâchent pas leurs mots : "despote", "méprisant", "irrespectueux".
Certes, arrivé paré de son habit de sauveur en 2008, il avait été élu à Douarnenez avec 54,8% des suffrages. Un score brillant, mais pour quoi faire ? Après trois ans de pouvoir, il est peut-être temps de se poser la question, tellement le changement n'est pas flagrant. Tellement le programme est au final inexistant.
Alors, le maire aura beau répéter qu'il n'augmente pas l'impôt et que les finances vont mieux, est-ce pour autant qu'il se passe quelque chose de neuf ? A vrai dire non. C'est même plutôt la reculade que l'avancée, toute chose bien pesée. Pendant ce temps, le sénateur, lui, enchaîne les questions écrites et réponses des ministres et secrétaires d'état comme des perles.
Sinon, pendant les conseils, la discussion et le débat font partie des interdits. L'opposition tente tant bien que mal de se faire entendre. Dans la majorité, à couvert jusqu'ici, la situation n'est guère meilleure. Le maire veut, le maire fait. Et le maire veille (enfin, presque). Mais la merveille, elle, se fait attendre…
Il fut une époque où, Philippe de Villiers au pouvoir, on comparaît la Vendée à un duché. Et si Douarnenez n'était qu'une baronnie au final ? Vite, démocratie, revient ! Fais à nouveau entrer le souffle de la liberté et de la discussion. Quant à nous, Douarnenistes, reprenons la parole, exprimons-nous, chaque fois que possible ! Et indignons-nous, si nous souhaitons que cela change. Rendez-vous jeudi 9 juin en mairie !
Thomas Rocher.
Le maire de Douarnenez semble être un curieux meneur d'hommes. Une mentalité qui sent plus le renfermé que l'ouverture d'esprit, un sens du dialogue réduit au néant, un esprit d'équipe digne d'un joueur de solitaire : ce n'est pas avec ces qualités là qu'on est un véritable leader. Rappelons-le : un véritable chef sait mener son équipe au succès. Philippe Paul veut mener la sienne à la tronçonneuse. Quel pitoyable manque de charisme !
RépondreSupprimerDOUARNENEZ se meurt le maire veut remonter les finances c'est facile il ne dépense rien , pas de projets , peut de réalisation .
RépondreSupprimerPar contre l"ex équipe fût montrée du doigt parce qu'elle avait pris de l'avance sur les réalisations prévues , médiatèque, et autres choses menées a bien avec une pause prévue si elle avait été réélue .
Au final la majorité a ce jour profite des réalisations menée par l'équipe précédente , donc les économies engagées par le maire auraient été réalisées
par l'actuelle opposition .
Tout en aidant les associations , et les services sociaux extrèmement actifs sous l'équipe de gauche .
les rues a ce jours pour la plus part restent délabrées,enfin je n'énumèrerait pas tout ce qui n'est pas réalisé cela prendrait trop de place , a moins que MONSIEUR LE SÉNATEUR MAIRE amputé d'une partie de son équipe de départ réussisse d'ici la a trouver un projet
dans les 3 années qui lui restent.