Le coupable est ailleurs…
L'opposition de gauche, dépitée face aux événements. Elle fera entendre son courroux. |
"Vous n'avez pas réussi à éviter les mots qui fâchent et qui séparent définitivement. […] Vous avez abîmé Douarnenez. Ce Douarnenez qui justement rassemble tous les élus que nous sommes, au-delà de nos opinions politiques", jette Tangi Youinou. Il poursuit : "Cette blessure, faite aux Douarnenistes, nous pensons qu'elle restera comme un tâche indélébile, associée à votre mandat, à votre équipe".(La totalité de l'intervention)
Monique Prévost ne sera pas en reste, indiquant à Philippe Paul que la démocratie impose "respect, écoute et solidarité". Elle poursuit : "votre volonté de vous donner une posture de patron est choquante". L'ancienne maire de Douarnenez indiquera en conclusion au premier magistrat, mais aussi aux nouveaux délégués : "vous n'imaginez pas le travail que cela représente de reprendre des dossiers aussi importants", évoquant tant ceux de la commune que ceux de la communauté de communes. (La totalité de l'intervention)
Maintenant dans l'opposition, William Boulic surfe sur la vague. "Nous voulons ce soir connaître les griefs. C'est vous qui êtes mandaté pour nous virer. […] Lors du précédent conseil, notre message c'était de dire 'c'est illisible'. Les modifications faites en séance ont amélioré les choses. […] Nous n'avons pas eu de réponse à notre lettre ouverte. Le recommandé était pour acter ce refus." Le futur ex-premier adjoint persiste : "Une politique, un programme ? On demande à le voir […] L'idée que je me fais de la gouvernance d'une commune n'est pas celle que tu pratiques aujourd'hui. Celui qui à raison ? Au dernier qui a parlé. Je suis conscient qu'on va vers un clash. […] Nous sommes des démocrates, nous prendrons acte de votre vote."
Monique Prévost ne sera pas en reste, indiquant à Philippe Paul que la démocratie impose "respect, écoute et solidarité". Elle poursuit : "votre volonté de vous donner une posture de patron est choquante". L'ancienne maire de Douarnenez indiquera en conclusion au premier magistrat, mais aussi aux nouveaux délégués : "vous n'imaginez pas le travail que cela représente de reprendre des dossiers aussi importants", évoquant tant ceux de la commune que ceux de la communauté de communes. (La totalité de l'intervention)
Maintenant dans l'opposition, William Boulic surfe sur la vague. "Nous voulons ce soir connaître les griefs. C'est vous qui êtes mandaté pour nous virer. […] Lors du précédent conseil, notre message c'était de dire 'c'est illisible'. Les modifications faites en séance ont amélioré les choses. […] Nous n'avons pas eu de réponse à notre lettre ouverte. Le recommandé était pour acter ce refus." Le futur ex-premier adjoint persiste : "Une politique, un programme ? On demande à le voir […] L'idée que je me fais de la gouvernance d'une commune n'est pas celle que tu pratiques aujourd'hui. Celui qui à raison ? Au dernier qui a parlé. Je suis conscient qu'on va vers un clash. […] Nous sommes des démocrates, nous prendrons acte de votre vote."
A suivre…
TR.
programme ?? il n'y a jamais u de programmes la majorité s'est fait élire sur la peur , son message était la ville est en faillite , alors qu'elle était dans les clous avec un endettement acceptable , qui allait diminuer dans les 3 années l'équipe prévost avait pris de l'avance sur ses projets et je le redis une pose de 3 années était envisagée pour rembourser une grosse partie de ce qui était due .
RépondreSupprimerQu'en est il maintenant une M J C en danger , entre autre .
Le sénateur maire patron va gérer les ressources humaines gouverner la ville , aller au sénat , et peut être gérer la com com .
faut il lui rappeler que les journées n'ont que 24h , les semaines 7 jours et l'année 12 mois donc on ne peut tout faire de façon correcte l'avenir me parait pour le moins bien sombre