Les algues vertes n'ont pas loupé leur entrée en scène, alors que les préparatifs des vacances estivales vont bon train dans certaines familles. La recette du cocktail est simple : un coup de chaud côté température, un zeste de soleil, à cela ajouter une période d'épandage dans les champs à cultiver et n'oubliez pas un peu de pluie, aussi infime soit l'averse et vous obtenez un joli bouillon vert, nauséabond à souhait !
Ben, oui. Les pluies de ces vendredi et samedi n'amélioreront probablement pas le panorama dans les jours à venir. Nous y sommes, c'est fait. La saison estivale sera verte.
Très verte pour les Douarnenistes s'il fait beau en mai-juin, car ils devront prendre leur mal en patience s'ils voulaient se baigner au Ris ou à Trezmalaouen. Il n'y aura pas de ramassage d'algues avant la période estivale, afin de ne pas saturer les aires de stockage, dixit William Boulic, président de la communauté de communes du pays de Douarnenez.
Non seulement, nos plages sont donc recouvertes d'algues, mais elles resteraient interdites à la baignade pour les autochtones que nous sommes ? Ça vaut bien le coup de payer ses impôts s'ils ne servaient qu'à ceux qui ne vivent pas dans cette ville…
En attendant, j'espère que l'Agenda 21 de la CCPDz est truffé de bonnes idées pour lutter contre la prolifération des algues vertes, mais aussi prodiguer les bons conseils aux pollueurs qui, comme pour la pollution en mer, devraient être les payeurs.
Photo : Blog Baie de Douarnenez Environnement Avril 2011 |
Très verte pour les Douarnenistes s'il fait beau en mai-juin, car ils devront prendre leur mal en patience s'ils voulaient se baigner au Ris ou à Trezmalaouen. Il n'y aura pas de ramassage d'algues avant la période estivale, afin de ne pas saturer les aires de stockage, dixit William Boulic, président de la communauté de communes du pays de Douarnenez.
Non seulement, nos plages sont donc recouvertes d'algues, mais elles resteraient interdites à la baignade pour les autochtones que nous sommes ? Ça vaut bien le coup de payer ses impôts s'ils ne servaient qu'à ceux qui ne vivent pas dans cette ville…
En attendant, j'espère que l'Agenda 21 de la CCPDz est truffé de bonnes idées pour lutter contre la prolifération des algues vertes, mais aussi prodiguer les bons conseils aux pollueurs qui, comme pour la pollution en mer, devraient être les payeurs.
Thomas Rocher
ces algues sont un poison souhaitons que le ramassage se fasse sérieusement , non seulement c'est affreux mais il faut penser aux riverains pour les odeurs, peut être y aurait il un moyen de valoriser ces déchets due aux phosphates , combien de fois le lisier est épandu dans les champs ,peut être existe il un moyen de transformer ce lisier en énergie .Toujours est il que nos jolies plages sont défigurées, et en 2011 il doit bien exister des solutions pour faire cesser cette pollution .
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