Il va falloir se serrer la ceinture. C'est une certitude. Alors que le gouvernement cherche à juguler l'augmentation de la dette de l'état français, ce sont bel et bien les collectivités locales qui vont trinquer. Une diminution des dotations qui plonge l'avenir des projets dans le flou.
Les réflexions gouvernementales en cours sur l'état de la dette française sont certainement nécessaires, elles impliquent cependant des sacrifices. Au rang des premiers sacrifiés, les communes et les établissements publics de coopération intercommunale (EPCI).
Il y a deux mois maintenant, la municipalité sortait de son chapeau, une liste de projets pour les cinq années à venir pour un total de 22 millions et demi d'euros (hors centre de secours). La réduction du déficit de l'état jette un voile sur les réalisations à venir. Puisqu'il faut se serrer la ceinture pour les années à venir, c'est qu'il faudra faire des choix dans les financements.
Entre les politiques régaliennes et les politiques volontaristes, toutes les collectivités, et donc tous les élus, vont certainement s'arracher des cheveux. C'est un immense casse-tête qui se présente à tous les niveaux décentralisés en France. L'état France ne donnera pas de bonus. La gestion "calamiteuse" du compte en banque de notre pays nous met dans le rouge.
Nous venons d'entrer dans une longue période de rigueur. Comme si, un matin aux infos, nous apprenions que l'été était supprimé et que le thermomètre aurait du mal à atteindre des sommets. Qui dit rigueur, dit "coupes".
Nos élus vont devoir s'affronter à de douloureux choix cornéliens. Et à Douarnenez ; où la nouvelle municipalité n'a de cesse de nous répéter que les finances, même en cours de redressement, sont toujours dans un état de fragilité intense ; la pilule ne sera que plus difficile à avaler pour bons nombres d'acteurs associatifs. La priorité sera certainement donnée à la réalisation des projets municipaux annoncés il y a deux mois.
N'oublions pas non plus que cette rigueur s'appliquera aussi au département et à la région. Là encore, les choix seront tendus et les financements de certaines opérations sont appelés à être réduits. La rigueur annoncée rime déjà avec "tensions" au niveau local.
A suivre.
Il y a deux mois maintenant, la municipalité sortait de son chapeau, une liste de projets pour les cinq années à venir pour un total de 22 millions et demi d'euros (hors centre de secours). La réduction du déficit de l'état jette un voile sur les réalisations à venir. Puisqu'il faut se serrer la ceinture pour les années à venir, c'est qu'il faudra faire des choix dans les financements.
Entre les politiques régaliennes et les politiques volontaristes, toutes les collectivités, et donc tous les élus, vont certainement s'arracher des cheveux. C'est un immense casse-tête qui se présente à tous les niveaux décentralisés en France. L'état France ne donnera pas de bonus. La gestion "calamiteuse" du compte en banque de notre pays nous met dans le rouge.
Nous venons d'entrer dans une longue période de rigueur. Comme si, un matin aux infos, nous apprenions que l'été était supprimé et que le thermomètre aurait du mal à atteindre des sommets. Qui dit rigueur, dit "coupes".
Nos élus vont devoir s'affronter à de douloureux choix cornéliens. Et à Douarnenez ; où la nouvelle municipalité n'a de cesse de nous répéter que les finances, même en cours de redressement, sont toujours dans un état de fragilité intense ; la pilule ne sera que plus difficile à avaler pour bons nombres d'acteurs associatifs. La priorité sera certainement donnée à la réalisation des projets municipaux annoncés il y a deux mois.
N'oublions pas non plus que cette rigueur s'appliquera aussi au département et à la région. Là encore, les choix seront tendus et les financements de certaines opérations sont appelés à être réduits. La rigueur annoncée rime déjà avec "tensions" au niveau local.
A suivre.
oui suite aux imprudences sarkoziennes les caisses de l'état sont vides après le bling bling on éteint les lumières .
RépondreSupprimerCe gouvernement joue avec des milliards qu'il n'a pas, alors qui va payer les collectivités locales et par ricochets le peuple .
ce peuple a qui l'on fait comprendre que 15 ans de retraites c'est la limite de l'acceptable , (on vous sert une retraite pendant 15 ans et après il faut avoir l'élégance de quitter cette terre .
On reproches aux malades les plus fragiles leur situation je pense pour ma part que ces malades préfèreraient la santé et aller au travail.
On montre du doigt les chômeurs et les rmistes , ce serait leur faute si ils se trouvaient dans cette situation mais qui les a licenciés qui ne crée pas d'emplois ??
En fait on marche sur le tête , la droite appauvrit la france et les français , rappelons nous lorsque JOSPIN est parti le chômage se résorbait de telle sorte que la sécu était a l'équilibre .
Enfin 2012 n'est pas si loin et 2 ans après une sanction tombera a DOUARNENEZ