Au rayon "ça ne passe pas", le sénateur-maire remporte la palme ce dimanche. On pouvait lire dans Ouest-France hier samedi, de la bouche de Philippe Paul, les propos suivants : "William Boulic devait venir me voir cette semaine. Il n'est jamais venu."
Croisé au détour de l'anniversaire des fêtes maritimes sur la Place de l'Enfer, il fallait bien que Les sardines en folie lui posent la question, au premier adjoint : une rencontre était-elle programmée ? "Mensonge. Je n'ai pas eu de coup de fil pour un rendez-vous. Pas moi, plus que les autres."
Croisé au détour de l'anniversaire des fêtes maritimes sur la Place de l'Enfer, il fallait bien que Les sardines en folie lui posent la question, au premier adjoint : une rencontre était-elle programmée ? "Mensonge. Je n'ai pas eu de coup de fil pour un rendez-vous. Pas moi, plus que les autres."
Sinon, la vie est belle... Bon dimanche !
TR.
certains diront que la gauche se frotte les mains de cette situation il n'en est rien .
RépondreSupprimerBien au contraire beaucoup regrettent cette situation qui ne peut mener la ville que dans le mur.
Une seule porte de sortie la démission de l'actuel conseil et refaire les élections pour cela il faut un certain courage politique*****
Disciurs de faux cul qui feint de regretter ce qui se passe en souhaitant des elections anticipées...
RépondreSupprimersi je souhaite une élection anticipé c'est pour le bien de la ville ,
RépondreSupprimeril est difficile de diriger un bateau avec la moitié de son équipage .
Quand a être **faux cul** sachez que je suis avant tout démocrate et que lorsqu'on est un élu désapprouvé par d'anciens très proche il faut savoir se remettre en question en tout cas c'est ce que je ferais .
Cela remettrai les choses a leur place .
Maintenant il reste 3 ans a cette équipe pour faire ses preuves nous verrons bien.
Après il faut avouer que la majorité actuelle fut bien élue sans discutions possible donc a eux de voir.