"Ils" ont osé. Ils sont passés au stade supérieur. Ils ont fait tomber le Bolomig. La honte !
"Ils", je dis "ils", car, il ne s'agit pas d'un acte solitaire. Il ne s'agit pas non plus d'un acte isolé. "Ils", comme "on" est un con. "Les cons, ça ose tout. C'est même à ça qu'on les reconnait", écrivait Michel Audiard dans "Les tontons flingueurs". Le problème, c'est que c'est vrai.
Les jardinières de la passerelle Jean Marin, les pare-brises de camion de marée sur le port du Rosmeur, les toiles de chapiteaux au Port-Rhu lors des fêtes maritimes, sans oublier le mobil-home de Siméon : belle accumulation.
Il y a, à reposer les éléments de manière linéaire, comme une volonté délibérée de saper le moral des Douarnenistes. Alors, liés ou pas, tous ces éléments participent à donner de la ville une triste image. Non, bien sûr et heureusement, il n'y a pas mort d'homme.
Pourtant, à chaque fait commis, il y a blessure de la ville et mal à l'âme des habitants. Un goût de désolation et d'incompréhension. Et l'affliction se faisant de plus en plus grande, la réaction des habitants n'en est que plus sensible. C'est quasi une chapelle ardente qui a été dressée lundi sur la place Gabriel Péri.
Le pire dans ces histoires ? La lâcheté et la gratuité des actes. Comment justifier de telles trahisons ?
Douarnenez a mal à l'âme. Pourtant, le petit bonhomme sera peut-être le symbole déclencheur d'un ravivement de l'affection que les habitants portent à leur ville, eux qui aiment autant la vanter que la décrier. Et puisque dans le Télégramme du lundi 2 août, Anne-Marie appelait à un rassemblement festif mercredi à 19h, autour du Bolomig (qui devrait retrouver sa place aujourd'hui, mardi), pour le symbole et pour le plaisir de croiser les Douarnenistes de cœur ou de racines, j'y serai ! Et vous aussi, je l'espère.
Quant aux coupables, terminons toujours sous le signe d'Audiard : "Le jour où on mettra les cons sur orbites, t'as pas fini de tourner !". Ariane devrait afficher complet lors de son prochain tir !
"Ils", je dis "ils", car, il ne s'agit pas d'un acte solitaire. Il ne s'agit pas non plus d'un acte isolé. "Ils", comme "on" est un con. "Les cons, ça ose tout. C'est même à ça qu'on les reconnait", écrivait Michel Audiard dans "Les tontons flingueurs". Le problème, c'est que c'est vrai.
Les jardinières de la passerelle Jean Marin, les pare-brises de camion de marée sur le port du Rosmeur, les toiles de chapiteaux au Port-Rhu lors des fêtes maritimes, sans oublier le mobil-home de Siméon : belle accumulation.
Il y a, à reposer les éléments de manière linéaire, comme une volonté délibérée de saper le moral des Douarnenistes. Alors, liés ou pas, tous ces éléments participent à donner de la ville une triste image. Non, bien sûr et heureusement, il n'y a pas mort d'homme.
Pourtant, à chaque fait commis, il y a blessure de la ville et mal à l'âme des habitants. Un goût de désolation et d'incompréhension. Et l'affliction se faisant de plus en plus grande, la réaction des habitants n'en est que plus sensible. C'est quasi une chapelle ardente qui a été dressée lundi sur la place Gabriel Péri.
Le pire dans ces histoires ? La lâcheté et la gratuité des actes. Comment justifier de telles trahisons ?
Douarnenez a mal à l'âme. Pourtant, le petit bonhomme sera peut-être le symbole déclencheur d'un ravivement de l'affection que les habitants portent à leur ville, eux qui aiment autant la vanter que la décrier. Et puisque dans le Télégramme du lundi 2 août, Anne-Marie appelait à un rassemblement festif mercredi à 19h, autour du Bolomig (qui devrait retrouver sa place aujourd'hui, mardi), pour le symbole et pour le plaisir de croiser les Douarnenistes de cœur ou de racines, j'y serai ! Et vous aussi, je l'espère.
Quant aux coupables, terminons toujours sous le signe d'Audiard : "Le jour où on mettra les cons sur orbites, t'as pas fini de tourner !". Ariane devrait afficher complet lors de son prochain tir !
Thomas Rocher
il y a le boloming , les exactions sur le port coup de couteau dans les bâches des chapiteaux sur le port rue , le saccage des jardinières, le saccage du mobile homme de siméon , et ce dernier weekend le saccage de voitures garées sur le parking des plomarch' et dans la laennec .
RépondreSupprimerQu'attend monsieur le maire premier magistrat de la commune pour intervenir ?? pourtant le parti qu'il soutient est ultra sécuritaire .
de plus qu'attend la mairie pour changer les drapeaux a l'entrée du rosmeur quisont déchirés par le vent ou autre chose .