Màj 23/07/2010 à 10h00. Il était 11h ce matin quand le coup de départ des fêtes maritimes a été donnée sur l’estacade du port-musée au Port-Rhu. La dernière pour Jean-Michel Le Boulanger, président du rendez-vous depuis maintenant 10 ans.
C’est Philippe Paul, sénateur-maire UMP de la ville, qui a pris le premier la parole, à l’invitation du président des fêtes. Il rappelle le programme et évoque le "cœur marin" de Douarnenez, en insistant sur l’Ile Tristan, à l’évocation des îles du Ponant.
Jean-Michel Le Boulanger (DVG), maintenant vice-président de la région Bretagne, chargé des affaires culturelles, sera lui plus loquace. Il a tout d’abord tenu a réaffirmé le « sens » de la fête. "C’est une fête, une fête totale. Les gens doivent repartir avec le sourire !" Et il rappelle au passage : "nous avons une autre singularité que les autres ne peuvent avoir : nous nous devons de créer la beauté et l’esthétique."
Jean-Michel Le Boulanger, président des fêtes maritimes ; Philippe Paul, sénateur-maire et Annick Le Loch, député et conseillère général du Finistère.
L’autre point d’insistance de Jean-Michel Le Boulanger aura été pour la culture, la culture populaire. Une obligation alors que le président réaffirmait souhaiter voir le site accueillir 80 à 100 mille visiteurs. "Nous fêtons ici les gens de mer. Nous devons faire la démonstration que les cultures populaires peuvent, elles aussi, toucher à l’universel." Une idée qui chemine d’autant plus qu’en 2012, avec Brest, les fêtes maritimes feront honneur à la mémoire des ports d’Europe.
Ultime point d’insistance, les valeurs véhiculées par de tels rendez-vous festifs. « Nous sommes un lieu de rencontre. Nous avons à apprendre des autres. Nous sommes aussi une ville où les hommes de valeurs sont fortement présents. Edouard et Paul Paulet, résistants ; Jean Marin, voix de la résistance ; Daniel Le Flanchec, ancien anarchiste, proche de la bande à Bonnot et décédé à Buchenwald.
Alors, il faut « résister ». "Résister alors que nous sommes plongés dans un monde d’individualisme et de consumérisme. Autour de nous, nous réussissons à mobiliser 1700 bénévoles pour faire vivre la fête et faire la fête. Il faut résister. C’est une belle leçon, une belle valeur." Et Jean-Michel Le Boulanger terminera en citant Lucie Aubrac : "Le verbe résister doit toujours se conjuguer au présent !"
Cependant, ne résistez pas au plaisir de visiter les fêtes maritimes de Douarnenez !
C’est Philippe Paul, sénateur-maire UMP de la ville, qui a pris le premier la parole, à l’invitation du président des fêtes. Il rappelle le programme et évoque le "cœur marin" de Douarnenez, en insistant sur l’Ile Tristan, à l’évocation des îles du Ponant.
Jean-Michel Le Boulanger (DVG), maintenant vice-président de la région Bretagne, chargé des affaires culturelles, sera lui plus loquace. Il a tout d’abord tenu a réaffirmé le « sens » de la fête. "C’est une fête, une fête totale. Les gens doivent repartir avec le sourire !" Et il rappelle au passage : "nous avons une autre singularité que les autres ne peuvent avoir : nous nous devons de créer la beauté et l’esthétique."
Jean-Michel Le Boulanger, président des fêtes maritimes ; Philippe Paul, sénateur-maire et Annick Le Loch, député et conseillère général du Finistère.
L’autre point d’insistance de Jean-Michel Le Boulanger aura été pour la culture, la culture populaire. Une obligation alors que le président réaffirmait souhaiter voir le site accueillir 80 à 100 mille visiteurs. "Nous fêtons ici les gens de mer. Nous devons faire la démonstration que les cultures populaires peuvent, elles aussi, toucher à l’universel." Une idée qui chemine d’autant plus qu’en 2012, avec Brest, les fêtes maritimes feront honneur à la mémoire des ports d’Europe.
Ultime point d’insistance, les valeurs véhiculées par de tels rendez-vous festifs. « Nous sommes un lieu de rencontre. Nous avons à apprendre des autres. Nous sommes aussi une ville où les hommes de valeurs sont fortement présents. Edouard et Paul Paulet, résistants ; Jean Marin, voix de la résistance ; Daniel Le Flanchec, ancien anarchiste, proche de la bande à Bonnot et décédé à Buchenwald.
Alors, il faut « résister ». "Résister alors que nous sommes plongés dans un monde d’individualisme et de consumérisme. Autour de nous, nous réussissons à mobiliser 1700 bénévoles pour faire vivre la fête et faire la fête. Il faut résister. C’est une belle leçon, une belle valeur." Et Jean-Michel Le Boulanger terminera en citant Lucie Aubrac : "Le verbe résister doit toujours se conjuguer au présent !"
Cependant, ne résistez pas au plaisir de visiter les fêtes maritimes de Douarnenez !
Thomas Rocher.
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire
Vous avez la parole. Vos commentaires sont susceptibles d'être modérés.
A vos claviers & restez courtois !
Attention ! Aucun commentaire anonyme n'est publié.
Consultez la charte de discussion sur le site des sardines en folie, en cliquant ici.
Cliquez "Commentaire : Sélectionner le profil...", puis choisissez "Nom/Url" et tapez votre pseudo. C'est à vous !