C'est sous le sceau de l'amitié politique que Philippe Paul avait tenu à ce que Jean-Pierre Raffarin vienne inaugurer le centre André Malraux des arts et de la culture (Lire ici). Sous ce même signe, Philippe Paul s'est engagé (courageusement ?) à défier le Président sur la taxe professionnelle.
Signe des premiers désordres sous la coupole de la majorité présidentielle, 24 sénateurs UMP, au rang desquels Philippe Paul, ont signé un texte pour que la réforme ne soit pas engagée immédiatement et dans les conditions annoncées par le gouvernement. En jeu ? Un affaiblissement des rentrées fiscales pour les collectivités locales.
Mardi, à l'issue d'une réunion avec les dirigeants de l'UMP, la presse rapportait que Nicolas Sarkozy avait simplement renvoyé Jean-Pierre Raffarin dans les cordes en lui lançant : "Votre démarche n'est pas formidable. […]. Elle ne sert pas notre camp".
Ben, oui. Parfois, on n'est pas dans le bon train. Mais qu'importe. Cela fait partie du jeu politique. Et un peu d'opposition au sein de la majorité ne fait pas de mal. Ah, quelle bande de rebelles, ces Jean-Pierre et Philippe !
Les abonnés à Médiapart peuvent prolonger leur réflexion sur le sujet en lisant l'article de Mathilde Mathieu, sous le titre "Raffarin et ses conjurés: une nouvelle force centrifuge à l'UMP", en cliquant ici. (Abonnement requis).
Signe des premiers désordres sous la coupole de la majorité présidentielle, 24 sénateurs UMP, au rang desquels Philippe Paul, ont signé un texte pour que la réforme ne soit pas engagée immédiatement et dans les conditions annoncées par le gouvernement. En jeu ? Un affaiblissement des rentrées fiscales pour les collectivités locales.
Mardi, à l'issue d'une réunion avec les dirigeants de l'UMP, la presse rapportait que Nicolas Sarkozy avait simplement renvoyé Jean-Pierre Raffarin dans les cordes en lui lançant : "Votre démarche n'est pas formidable. […]. Elle ne sert pas notre camp".
Ben, oui. Parfois, on n'est pas dans le bon train. Mais qu'importe. Cela fait partie du jeu politique. Et un peu d'opposition au sein de la majorité ne fait pas de mal. Ah, quelle bande de rebelles, ces Jean-Pierre et Philippe !
Les abonnés à Médiapart peuvent prolonger leur réflexion sur le sujet en lisant l'article de Mathilde Mathieu, sous le titre "Raffarin et ses conjurés: une nouvelle force centrifuge à l'UMP", en cliquant ici. (Abonnement requis).
Thomas Rocher
Les promesses électorales de filou n'engagent que ceux qui y croient .
RépondreSupprimerdont acte